Sunday, February 15, 2009

Chaouen





Ville interdite. Chaouen , réputée ville sainte et ou compte plus de vingt mosquées ou sanctuaires , fut longtemps interdite aux chrétiens , alors même que les juifs y étaient nombreux.
Au pied des djebels Kella ou Tisouka ( 2050 m ) et Meggou ( 1616 m ) qui à eux deux forment le djebel ech Chaouen ( <<>> ) , Chaouen recèle guère de monument extraordinaire . le charme de la ville vient de ses ruelles où l 'on n' hésitera pas à se perdre : on y retrouvera toujours son chemin.
Durée : en 2 h , On aura fait le tour de la médina . Si l’on est pressé , on se rendra directement en voiture place Makhzen , d ' ou l' on rejoint la place Uta el Hamman . le sok de Chaouen se tient le mardi et le jeudi.
On pourra commencer la visite en montant jusqu ' à l ' hôtel Asmma . Sa masse écrase quelque peu le site , mais la vue plongeante sur la médina permet de mieux en apprécier la configuration . rejoindre ensuite la ville moderne.
L’avenue Hassan II l' artère principale de la ville moderne , se prolonge en contournant la médina par le S . A l ' une des ses extrémités , la place Mohammed 5 est , par son architecture , une réminiscence du protectorat espagnol . Au S. de ce tronçon se tient ( mardi et jeudi ) le marché . A l 'autre extrémité , Bab el Ain constitue l ' entrée principales de la ville ancienne . Aussitôt cette porte franchie, on montera par la ruelle à de. qui conduit à travers la médina jusqu ' à une vaste place qui forme le véritable centre vivant de la cité.
La place Uta el Hamman est , avec ses cafés , ses échoppes à brochettes , son animation nonchalante , l ' endroit idéal pour déguster un thé à la menthe . sur la droite on remarquera la grande moquée au minaret octogonal , élevée à la fin du 15 ème.
La kasbah : ouvre de 9 h à 13 h et de 15 h à 18.30 remonte également à la fondation de la ville en 1471 . son mur crénelé cache d 'agréables et paisibles jardins andalous et un petit musée. A l ' entrée , cellule ou Abd el karim , qui avait eu ici son quartier générale fut prisonnier par les Espagnols en 1926.
Au musée, on verra des palanquins du siècle dernier , véritables coffre en bois peint à l ' intérieur desquels s ' asseyait la mariée le jour de ses noces , de la porterie du Rif , des costumes régionaux et des instruments de musique. Au premier étage, les passionnés du Maroc pourront consulter des livres en arabe, en espagnol et en français.
La médina pour y pénétrer, prendre une rue sur la gauche , au fond de la place .Les ruelles pavées de galets s 'élèvent entre les maisons aux murs chaulés dans leur partie supérieure. Outre le blanc, les habitant y apposent ces couleurs typiques de Chouen , du bleu au mauve en passant par le vert, couleurs qui ont pour vertu d'éloigner les moustiques . De cette masse confuse ou s' emboîtent les volumes émergent ça et la des minarets qui s'offrent , eux, dans la nudité de leurs matériaux bruts , l 'are de chevauchement qui relie souvent les maisons entre elles trahit une réminiscence andalouse due aux musulmans émigrés d ' Espagne.
Peu après avoir quitté la place, à gauche intéressent petit caravansérail dont les cellules s ' ordonnent autour d ' une minuscules cour carré . A Travers la médina, vous passez certainement devant l un des nombreux sanctuaires que compte la ville. les plus important sont ceux de Sidi ben Yahia , fondé en 1592 , et de Sidi el Hadj Chérif.
En continuant tout droit , on rejoint une autre porte de la ville , Bab el Onsar , qui débouche vers l ' est sur la montagne , tout près de l 'oued Laou , et permet de gagner ( environ 3 Km ) la source de Ras el Ma .celle-ci se trouve au bout d ' un sentier et dévale en une agréable cascade auprès de laquelle sont établis deux petits cafés . En chemin , plusieurs moulins traditionnels et belles vues sur la ville.
En redescendant dans la ville par la gauche on gagne la place el Makhzen , continue à la place Uta El Hamman , et où se trouve de nombreux bazars. de la , on peut redescendre ver Bab El ain en prenant l ' avenue Hassan II qui ménage de beaux point de vue sur la vallée.

Taza




Taza est une jolie petite ville marocaine, dans la région de Fès au Maroc, Taza est une ville ancienne, il a aussi la nouvelle partie moderne de la ville qui est moderne, Taza qui se trouve au-dessous de la vieille ville.
Taza a beaucoup de almohade historique monuents principalement les mosquées, la mosquée Andalous et la Grande Mosquée, les mosquées sont un témoin oculaire de l'aura lorsque la ville a été élaboré par les Almohades, la grande mosquée a été buily par le sultan Abd el-Moumen Al Mouwahidi, et on croit qu'elle est plus ancienne que la mosquée de Tin Mal dans le sud du Maroc, de Tizi N'Test région fondée par des Almohades.
Taza est pas si bien connu la ville marocaine, car la ville est petit et a beaucoup de villes voisines qui sont plus d'importance dans l'histoire du Maroc, principalement la ville de Fès.
La vallée dans la partie nord de Taza, est un passage entre les montagnes du Rif et du Moyen-Atlas, de Taza est une ville fortifiée, la ville, le mur a été construit par les Almohades, à la ville comme un château de contrôle militaire de la vallée, et les régions avoisinantes, le mur a ruiné de nombreux côtés, le principal intérêt est la ville la porte du mur est «Bab Rouah»

Asilah




Asilah au Maroc, cette petite ville commerçante, plus de 3600 ans, est situé sur la pointe nord-ouest du Maroc. Jusqu'en 1978, la ville a été la détérioration de l'ancienne derrière des murs de défense qui reste le joindre. Cette situation a vite été modifié par les idées d'un homme, Mohammed Benaissa, par sa foi en la culture comme une ressource précieuse et ses rêves pour sa ville natale. Grâce aux efforts de Benaissa et son collègue, un autre résident local, Mohammed Melehi.
Le festival annuel culturel d'Asilah a été créé pour financer la réhabilitation de la ville, un effort continue aujourd'hui. Le projet de réhabilitation est fortement liée à la création du festival et l'histoire de deux hommes. En 1989, la ville a gagné un Prix Aga Khan pour ses efforts de relèvement. Asilah, a été une toute nouvelle vie, mais soulève des questions liées à la poursuite du développement de la ville et ses habitants.
Asilah est situé à 42 km au sud de la ville de Tanger sur la côte atlantique. La ville est entièrement entourée de murailles portugaises qui ont été construits au 15e siècle. (Images 1 & 2) Il existe des plages et un port naturel sur la côte nord-ouest de la ville. Les terres agricoles entourant la ville et il n'y a pas d'usines dans la région immédiate., Au nord d'Asilah et de stations balnéaires au sud se trouvent des colonies de squatters appelé mixik. Cette zone côtière nord de l'Atlantique se situe dans la zone de climat méditerranéen doux qui sèche des hivers humides et des étés chauds. La présence de l'Atlantique crée plus de précipitations que dans les autres zones de la Méditerranée.
Asilah l'histoire remonte à environ 1500 en Colombie-Britannique, depuis lors, il a changé de mains plusieurs fois. L'importance et la morphologie de la ville est liée à son port naturel. Les Phéniciens appelaient Silis ou Zilis la ville et utilisé principalement comme un poste de traite. Être favorable à un emplacement à la croisée des chemins entre l'Orient et l'Occident, il a ensuite été occupé par les Carthaginois, les Byzantins et les Romains. Dans le 9ème siècle, elle fut occupée par les Arabes et les Normands.
En 1471, Asilah a été occupé par les Portugais qui ont construit les fortifications de la ville. Il a été volontairement retournés au Maroc en 1550, mais a été absorbée par les Espagnols comme ils ont pris le contrôle du Portugal à la fin du 16ème siècle. En 1692 la ville a été reprise par les Marocains, sous la direction de Moulay Ismail. Dans le 19e et 20e siècles, Asilah est une base pour le piratage. En 1911, l'Espagne a pris la partie nord du Maroc en tant que leur protectorat dont Asilah. Le pays a enfin obtenu son indépendance en 1956.

Casablanca




Casablanca est la ville la plus importante au Maroc, en Afrique du Nord, la ville de Casablanca est situé sur l'océan Atlantique, elle est aussi la capitale économique du Maroc, connue pour son port international des activités commerciales, le port de Casablanca, Casablanca accueille également l'un des plus grand aéroport en Afrique, de l'aéroport de Casablanca Mohamed V. Casablanca compte une population de plus de 3,3 millions, 3,85 millions dans le «plus grand Casablanca, Casablanca est donc considéré comme la plus grande ville du Maroc, elle est la plus grande et la plus grande ville du Maroc, de la plus grande ville d'Afrique du Nord, et le 6ème plus grande ville du tout le continent de l'Afrique, avec une majorité de la modernité économique du secteur dans la région de Casablanca, Casablanca et de la zone à dominante industrielle et de service dans l'activité du secteur. Casablanca est souvent et à juste titre dénommée la capitale économique du pays, bien que la capitale politique du Maroc est Rabat. Il est également la principale base navale de la Marine royale marocaine. et Casablanca est la première ville d'accueil du siège et les principales installations industrielles pour la première marocaine et internationale des entreprises basées au Maroc. Statistiques industrielles montrent Casablanca conserve sa position historique comme la principale zone industrielle du pays. Le port de Casablanca, le Maroc est considéré comme le principal port et que l'un des plus grands ports artificiels dans le monde. Il est également le plus grand port du Maghreb et l'Afrique du Nord.

Taroudant




Taroudant est situé dans le sud du Maroc, 76 kilomètres au sud d'Agadir, dans la région de Souss, Massa, daraa, Taroudant est situé entre le haut et l'anti Atlas.
Taroudant a été la première capitale de la dynastie des Saadiens ine du XVI siècle, c'est pourquoi il a un place importante dans l'histoire du Maroc.
Taroudant murs de la ville sont à 7,5 km de long, 130 tours et 19 bastions, qui ont fait de la ville une gigantesque citadelle, les murs de la ville comprennent cinq ports d'entrée donnant un accès par les points cardinaux au nom de: Bab al kasbah, Bab Zorgan, Bab Targhount, Bab Oulad Bounouna et Bab El Khemis. Tous ces ports sont voûtées en forme de porte mauresque, sont dominées par des tours.
Taroudant, ces jours-ci, des personnalités viennent chercher le repos à l'ombre des murs de la ville de couleur, connue aussi pour son artisanat, du cuir, fer forgé, bois, céramique et ses bijoux berbères, Taroudant attire de nombreux touristes de partout dans le monde entier qui viennent à la recherche de la douceur de vivre un style de vie berbère et l'hospitalité des marocains dans un climat tempéré tout au long de l'année, le souk est le lieu de rendez-vous le Roudanais, au centre-ville de Taroudant, la place Assarag cafés vous offrent leurs terrasses animées et de la chaleur de la saison, la place du marché municipal de Jnan Jamaa Taroudant est bourrée de toutes les spécialités arabo-berbères, bazars, épiceries, herboristeries etc
Photos et images de Taroudant sont mentionnés ailleurs dans notre annuaire, ainsi que la musique de Taroudant et les hôtels et les riads pour vos vacances au Maroc, pour d'autres demandes de renseignements à propos de Taroudant s'il vous plaît n'hésitez pas à utiliser notre formulaire de contact et nous adresser votre demande dans de très court terme.

Errachidia




Errachidia est l'une des plus célèbres et anciennes villes marocaines, la ville d'Errachidia se trouve dans l'est du Maroc, la ville a beaucoup d'endroits magnifiques à visiter, des musées, des ksars, des vallées, mais l'a été jusqu'à présent un ou deux stop jours au lieu d'être une destination touristique à l'instar des autres villes marocaines voisines telles que, Ouarzazate.
Errachidia est située dans la vallée du Ziz et du nord de la vallée de Tafilalet, lieux sont Erfoud, Rissani, Errachidia est sait aussi que Ksar Souk, et il ya beaucoup d'excursions qui peuvent être organisées en Errachidia.
La ville d'Errachidia a beaucoup de monuments, Ksars, palais, la ville est également connue pour son hospitalité et la gentillesse des habitants de la partie orientale du Maroc, la ville est un bon endroit pour les achats de cadeaux, le marché local des produits et des marocains souvenirs, le marché est très encombré dans l'après-midi surtout, le climat est bon tout au long de l'année.
Alors que dans d'Errachidia, vous découvrirez que l'on est de bonne qualité des hôtels, le confort est relativement disponible pour un prix plus élevé, il ya plusieurs restaurants marocains et plusieurs boutiques de restauration rapide, les produits alimentaires européens peuvent être classés dans les hôtels, d'Errachidia, est facilement accessible à partir de voisins marocains villes comme Ouarzazate, ou d'autres villes de l'Est marocain, il ya de bonnes connexions dans les quatre directions, les autobus, les taxis et CTM ainsi.

Essaouira




Essaouira est l'une des célèbres villes du Maroc, Essaouira est situé dans la partie ouest du Maroc, la ville est très connue comme une ville touristique et une des meilleures destinations Voyage au Maroc. Essaouira est connue pour la musique sacrée du monde festival, qui se tient chaque année fin Juin, Festival de musique Gnawa et musiques du monde, Essaouira était anciennement connu sous le nom de «Mogador», la ville est un patrimoine mondial de l'UNESCO en vente la ville, comme un exemple de la fin du 18ème siècle, ville fortifiée, comme transférés à l'Afrique du Nord. Le port d'Essaouira, de ne pas imporant que comme autant de ports voisins, comme le port de Safi ou Casablanca port, l'activité touristique est d'une très importance croissante, les hôtels-boutiques établies dans des riads marocains. Dans la vieille ville de remparts, il ya beaucoup d'anciennes maisons transformées en riads et maisons d'hôtes offrant le logement pour différents budgets, et un certain nombre de modernes construits à cet effet les hôtels, qui longe la plage. Essaouira est le foyer de nombreuses petites entreprises d'art et d'artisanat, principalement du bois, notamment l'artisanat et l'ébénisterie et de thuya 'sculpture sur bois (à l'aide de racines de l'arbre Tetraclinis), qui ont tous deux été pratiquée pendant des siècles à Essaouira. Essaouira est aussi connue pour son voile, avec le puissant alizé souffle presque constamment sur le protégé, presque waveless, la baie. Plusieurs clubs de classe mondiale louer du matériel haut de gamme sur une base hebdomadaire. Parasols ont tendance à être utilisés sur la plage plus d'une protection contre le vent et les vents de sable. Camel excursions sont disponibles sur la plage et dans la bande de désert de l'intérieur.

Ouarzazate




Ouarzazate est une ville dans le sud du Maroc, la ville de Ouarzazate n'est pas si loin d'Errachidia, Zagora, qui est maintenant une province marocaine, et qui était avant une partie de la province de Ouarzazate, la ville de Ouarzazate a différentes cultures, la culture berbère , la culture arabe, ainsi que l'Afrique sub saharienne et de culture, c'est une ville marocaine très riche avec de nombreuses traditions artistiques.
Ouarzazate est en plein milieu du désert et est le point de départ de l'oasis et le grand sud, c'est la raison pour laquelle la ville de Ouarzazate est l'un des plus fascinants marocaine Voyage destinations. Ouarzazate est aussi célèbre pour son marché, le désert, les groupes folk traditionnel marocain, et les studios Atlas de Ouarzazate, de nombreux films ont été fixées dans leurs studios qui sont considérés parmi les plus grands studios de cinéma sur le continent africain. La ville est une ville propre, avec de nombreux hôtels de luxe qui donnent tous les moyens de repos pour les acteurs et de réalisateurs qui choisissent de ouarzazate comme un emplacement pour leurs films, il n'est pas étonnant Ouarzazate est appelé Hollywood Aujourd'hui le Maroc, la ville est aussi un monde culturel patrimoine, la procédure à son importance historique, il dispose de deux kasbahs de l'UNESCO a inclus dans son programme sur l'héritage. Le top toursits spots autour de ouarzazate sont Tinghir, Mhamed, Zagora, Sekoura, Kalaa megouna de la petite ville qui connaît le festival est passé chaque année qui ont lieu de temps au début de l'été, le festival kalee de megouna attire les visiteurs locaux et étrangers. Certains des endroits célèbres à visiter autour de ourazate ne sont pas limitées à: Kasbah de Taourirt, un ancien palais et un château de l'ancien quartier juif, la kasbah Ait Ben Haddou, connu sous le nom de l'arrière-plan de gladiateurs, Lawrence d'Arabie, le joyau du Nil et de bien d'autres, de megouna Kelaa, la vallée la plus belle des jardins de roses.

Safi




Safi «Le cœur de la région Doukala Abda» est l'un des plus charmants et les belles villes du Maroc située sur la côte atlantique, la ville de Safi est la capitale de la région Doukala, Abda, son port est l'un des ports les plus importants au Maroc, la ville était autrefois considérée comme la capitale mondiale de la sardine et de poterie de capital, il contient aussi tôt que les années 60 l'un des plus importants complexes industriels de transformation Phosphat, Safi a fait plus de 290.000 habitants. En ce qui concerne l'histoire, il n'ya pas assez de textes historiques sur ses origines et Safi, safi a été fréquenté par les Romains, il est apparu dans les textes arabes sous le nom d'Asfi, Safi est aussi une ville marocaine célèbre pour ses arts traditionnels, la musique aita , et la musique de chikhat Maroc, Safi est la ville marocaine de nombreux artistes, tels que bajedoub et Fatna bent el Houssine. Safi est essentiellement moderne, comme elle le logement d'un port de pêche et une industrie diversifiée, Si vous entrez dans la ville le long de l'itinéraire le plus courant, vous verrez l'industrie avant de voir la ville. Ne laissez pas vous faire ce demi-tour lorsque vous êtes à la découverte de la ville vous allez sans doute tomber en amour avec ses monuments historiques, du port, de Sidi Bouzid, et le village de poterie. La ville elle-même est charmant, avec une vieille ville très vivante. Ici, vous pouvez être tenté d'acheter des poteries, de voir toutes les formes et les modèles dans un grand nombre de magasins, mais alors vous êtes dans l'un des meilleurs endroits au Maroc. Il ya beaucoup de possibilités de se promener et regarder les gens qui travaillent pour leur poterie. Lorsque vous avez été dans des endroits comme Moulay Idriss, vous avez vu le beau portant sur les toits, faite de tuiles vertes. Safi est le lieu où elles sont produites.

El Jadida




Eljadida est l'une des principales villes du Maroc dans la région de Doukala, Abda, Eljadida Maroc, est une ville portuaire sur la côte atlantique du Maroc, de la population d'El Jadida est estimé à 144.440 (recensement de 2004), la ville est très proche de Marrakech, Safi et Casablanca, la ville accueille un grand nombre de monuments portugais depuis l'occupation, c'est pourquoi la ville d'El Jadida a un aspect très typique mauresque, il a massive portugais murs de pierre taillée. La ville d'El Jadida a été, une fois connue sous le nom de Mazagane, Mazagan, la ville a été colonisée par les Portugais en 1502, de 1580 à 1640, le Portugal a été en vertu de la règle dynastique espagnol, le portugais Mazagane abandonné en 1769 et beaucoup de ses habitants ont été évacués au Brésil, où ils ont fondé de nouvelles Nova Mazagão règlement (maintenant en Amapá), El Jadida a été prise par le sultan au cours de la Alawites Mohammed ben Abdallah règle. El Jadida comme une ville fortifiée a été enregistré en tant que patrimoine mondial de l'UNESCO en 2004, sur la base de son statut particulier comme une très remarquable exemple de l'interaction d'échange d'influences entre les cultures européenne et marocaine, musulmane et chrétienne civ, et comme un début de exemple de la réalisation des idéaux de la Renaissance intégrés aux techniques de construction portugaises. Selon l'UNESCO, la citerne, et le Manueline église de l'Assomption sont les plus importants bâtiments de la période de domination portugaise. Actuellement, la ville d'El Jadida a un très riche agriculatural activité, les principales exportations sont les haricots, les amandes, le maïs, les pois chiches, de la laine, des peaux, de cire et les œufs. Elle importe du coton, du sucre, du thé et du riz. La présence de proximité des ports et des usines est responsable de la pollution des plages d'El Jadida.

Agadir




Agadir est une ville dans le sud du Maroc, la capitale du Souss-Massa-Daraa région. Elle a une population de 678596 (2004; les chiffres du recensement pour l'agglomération notamment par la proximité de villes d'Inezgane et Aït Melloul), la population de la ville proprement dite est estimé à 200.000. La douceur de l'hiver (Janvier-midi la température moyenne de 20 ° C/68 ° F) et de bonnes plages en ont fait un grand "soleil d'hiver" destination pour les Européens du Nord.
La ville est située sur la rive de l'Océan Atlantique, au pied des montagnes de l'Atlas, au nord de l'endroit où le fleuve se jette dans Sous la mer, fondée par les Portugais vers 1500, la ville est venu sous contrôle marocain en 1526. En 1911, l'arrivée d'une canonnière allemande (Panther), officiellement pour protéger la communauté allemande, a déclenché la crise d'Agadir entre la France et l'Allemagne, qui en 1913 a causé la France d'établir un protectorat sur le Maroc.
À 15 minutes à minuit le 29 Février, 1960, Agadir a été presque totalement détruite par un tremblement de terre qui a duré 15 secondes, l'enfouissement de la vieille ville et tuant des milliers, le nombre de morts est estimé à 15000. Le tremblement de terre a détruit l'ancienne Kasbah sur le sommet de la colline du Cap Ghir, qui a été construit en 1540. Sur son entrée peut encore se lire la phrase suivante en néerlandais: "Craignez Dieu et l'honneur de ton roi».
Agadir est aujourd'hui un port maritime (exportation de cobalt, de manganèse et de zinc) et de station balnéaire avec une grande plage de sable. En raison de ses grands bâtiments, de larges routes, des hôtels modernes et les cafés de style européen, certains estiment ne pas typiquement marocain. Agadir est célèbre pour ses produits de la mer et de l'agriculture.

Ifrane




Ifrane, Maroc, Ifrane est une ville, le centre-nord du Maroc, la ville d'Ifrane a été fondée en 1929 et est situé dans le Moyen Atlas, Ifrane inclut dans ses environs immédiats le Maroc célèbre le premier hiver et d'été, les zones de villégiature, il est du Maroc première destination d'hiver.
Ifrane est située à une altitude d'environ 5400 pieds, soit près de 1650 mètres au-dessus du niveau de la mer, la ville d'Ifrane accueille les touristes, la ville d'Ifrane est un endroit agréable avec des pseudo-alpine et les grandes villas rues de banlieue, il est l'un des villes les plus propres au Maroc et il est intéressant de pré fabriqué sentir sur la place, la ville est ull de la vie et plein d'esprit d'entreprise, Ifrane est pas si loin de la célèbre ville de Fès ou Meknès, la ville est une passerelle les magnifiques chutes d'eau pour rafraîchir le portail et sur la célèbre Ain vital. Ici, les randonneurs, les athlètes, les cyclistes, les pêcheurs et les grimpeurs qui ont un monde de choix pour l'aventure et un défi.

Oujda




La ville marocaine d'Oujda, dans une région très stratégique, au Maroc, cette région a des cultures en raison de sa situation géographique, non loin de l'Espagne, le alegrian frontières, la ville est entre deux infulences, l'arabe et l'influence européenne.
Oujda est la capitale de la partie nord-est du Maroc, à 10 miles de la frontière algérienne, et près de 40 miles de la mer Méditerranée, Oujda a été trouvé en 994 AC par Ziri ibn Attia, le chef de la tribu des Maghraoua et pendant les 80 premières année, Oujda est la capitale d'Al-Maghreb (Maroc), car il a accueilli deux dynasties, l'Almoravide et Almohade, grâce à ces dynasties de la ville d'Oujda a été fortifié, le roi Abou Youssef a reconstruit la ville en 1297, donnant à la ville son impérial caractère, les murs, Kasbah, une mosquée et un palais, la ville d'Oujda a beaucoup de beaux monuments hostorical, et est l'une des plus fascinantes destinations Voyage au Maroc. La meilleure période est à l'Oujda islamique dirigeants, cette période a développé de nombreux secteurs à Oujda triviaux, tels que l'agriculture, l'activité sociale, l'architecture, principalement des monuments certains de ces monuments sont toujours préservés et encore de nos jours comme Musjed Al-Kabire, la ville de Oujda a été construite sur la plaine d'Angad, qui est entourée par l'une des plus belles régions montagneuses du Maroc: Les montagnes de Beni-Snassen. Oujda dispose de quatre portes monumentales: Bab Ouled Amran, Bab Sidi Aissa, Bab Sidi Abdelwahab et Bab Ahl Jam, La grande mosquée construite au treizième siècle, est l'un des plus beaux monuments de la ville, de nombreux commerces sont à Oujda comme la "Kissaria", où les magasins d'exposer l'ensemble des locaux de l'artisanat.

Larache




Larache est une des plus anciennes villes du Maroc, c'est une ville portuaire située dans la région de Tanger Tétouan, dans le nord du Maroc, la ville de Tétouan a été fondée au 7ème siècle, quand un groupe de soldats musulmans de l'Arabie étendu leur camp à Lixus sur la rive sud du fleuve Loukos.
À partir de 1471 la ville de Larcahe a été habité jusqu'au Sultan Mohamed esheikh Essadi, a décidé de repeupler et de construire une forteresse sur le plateau au-dessus de la rivière Loukos, Sultan Mohamed esheikh Essadi construit une forteresse à l'entrée du port comme un moyen de contrôler l'accès aux la rivière, de la Casbah qui a été construit en 1491 par Moulay en Nasser, est plus tard devenu un bastion de pirates, l'année 1610, la ville de Larache passé des mains de l'espagnol qui est resté là unitl 1689, mais surtout utilisé les ports commerciaux et s'arrête jamais vraiment administrés la ville. Sulatn Moulay Ismail iLarache finalement repris en 1689, la province de Larache a été créée le 14 Octobre 1985, il appartient à la Wilaya de Tétouan qui appartient à la zone économique de Tanger-Tétouan, la ville de Larcahe est bordée au nord par la province de Tétouan et la province de Tanger-Asilah. Dans le Sud de la province de Kénitra, et de l'Est par la Province de Chefchaouen, et il est également bordé par l'océan Atlantique à l'ouest. La province de Larache couvre une surface de près de 2.783 km ². Sa population est de l'ordre de 431,476 (recensement de 1994), dont 201.485 dans les communes urbaines et des centres, et 229.991 dans les communes rurales. Le taux d'urbanisation se situe à 46,7%. Quant à la densité moyenne, il est de 155 habitants / km ² Les secteurs commercial et de l'industrie sont considérées parmi les plus importantes activités économiques de la province. Ce secteur est cantered essentiellement sur l'agro-alimentaire tandis que l'adaptation de la structure géo-économique de la région. En effet, la vocation agricole et maritime de la province, a causé une implantation d'un tissu industriel riche et diversifié pour mettre l'accent sur la production agricole et les produits de la mer. La province de Larache bénéficie de riches potentialités naturelles et d'importants atouts touristiques. Le tableau suivant présente quelques données statistiques sur les grandes capacités du secteur.

Tanger




Histoire

Si l'on se fie à la mythologie grecque, la ville de Tanger aurait été fondée par le géant Antée, fils de Poséidon et de Gaia et devrait son nom à Tingo (ou Tinga !), femme du fondateur. Antée trouvait sa force au contact de la terre, Hercule l'étouffa en le maintenant en l'air. Le tombeau d'Antée serait une colline proche de Tanger, le Charf. Sa position géographique exceptionnelle, et stratégique, a fait pendant longtemps de Tanger un lieu de convoitise où se sont succédées plusieurs civilisations et cultures.

Après une présence phénicienne, dont il subsiste deux petites nécropoles, la ville fut réellement fondée au IVe siècle avant J.C., par les Carthaginois qui en firent un comptoir (Tingi). En 146 avant J.C., à la chute de Carthage, la ville est rattachée à la Maurétanie et devient une colonie romaine (Tingis) liée à la province d'Espagne. Tanger prend une telle importance, qu'elle devient, vers le IIIe siècle, la capitale de la Maurétanie Tingitane. Au Ve siècle, Tanger est occupée par les Vandales. Libérée sous le règne de Justinien, au début du VIe siècle, elle est rattachée à l'empire byzantin.

Le général omeyyade Moussa Ibn Noussaïr s'intéresse à Tanger pour sa position stratégique et c'est de là qu'en 711, commencera la conquête de l'Espagne par les troupes de Tarik Ibn Ziad, à qui Gibraltar, entre autres, doit son nom (Djebel Tarik la montagne de Tarik). Pendant les cinq siècles qui suivent, les dynasties du Maroc, les Arabes d'Egypte, de Tunisie et d'Espagne se disputent la souveraineté de Tanger. Les Idrissides, maîtres de Volubilis, les Omeyyades d'Espagne, s'affrontent à son sujet pendant plus d'un siècle. Au milieu du Xe siècle, les Fatimides de Tunisie y étendent leur autorité. En 1075, les Almoravides en deviennent maîtres jusqu'en 1149 date à laquelle la ville passe aux Almohades. Elle s'inféode aux Hafsides de Tunis avant de devenir mérinide en 1274.

Après trois tentatives et trois échecs, les Portugais s'en emparent en 1471 et l'occupent pendant un siècle après lequel les Espagnols s'en emparent, pour la perdre aussitôt au profit du Portugal, avant d'être cédée à l'Angleterre en 1661 comme dot apportée par Catherine de Bragance à son époux Charles II d'Angleterre. Dès 1679 Moulay Ismaïl (Empire Cherifien Alaouites) entreprend le siège de Tanger qui lui est abandonnée en 1684, sur décision de Charles II estimant son occupation par les troupes anglaises inutile et beaucoup trop coûteuse.

A la suite de l'aide apportée par le sultan Abderrahman à l'émir algérien Abd El-Kader, les Français lancent sur Tanger un raid de représailles dirigé par le prince de Joinville qui bombarde la ville en 1844 et démantèle les fortifications.

Les rivalités européennes pour le contrôle de la ville, porte entrouverte sur le Maroc, démarrent en cette fin de XIXe siècle. La France, l'Espagne, le Royaume-Uni, l'Allemagne multiplient les missions diplomatiques et commerciales pour placer leurs pions mettant la ville au centre des rivalités internationales. En 1880, la convention de Madrid tente de définir les relations entre les grandes puissances au sujet du Maroc. Poussé par le chancelier Bulow qui entend rappeler de façon, sensationnelle, que l'Allemagne ne se laissera pas mettre à l'écart et que la France ne peut modifier l'état politique du Maroc sans l'autorisation d'une nouvelle Conférence internationale, Guillaume Il débarque le 31 mars 1905 du Yacht impérial Hohenzollern à Tanger pour quelques heures et dénonce, après un entretien avec l'oncle du sultan, les visées françaises et espagnoles sur le Maroc, ce qui provoque une crise diplomatique. En 1906, la conférence d'Algésiras redéfinit les positions de chacun en Afrique reconnaissant l'indépendance du sultan et affirmant l'égalité des signataires dans le domaine économique. En 1923 les négociations aboutirent à en faire une zone internationale. Le 24 juillet 1925, le statut définitif de Tanger est signé par le Royaume-Uni, l'Espagne, la Belgique, la Hollande, les États-Unis, Portugal, l’Union Soviétique et la France, auxquels se joindra l’Italie un peu plus tard.

La ville possède désormais son autonomie financière. On la dote d'une administration internationale, en particulier d'une assemblée législative, composée de trente fonctionnaires internationaux désignés par leurs consuls respectifs et de neuf Marocains.

En juin 1940, après la défaite française, les troupes nationalistes espagnoles occupent Tanger et permettent, en mars 1941, l'installation du consulat allemand à la mendoubia (résidence du Mendoub) où flotte le drapeau nazi. En mars 1944, l'Espagne fait partir le consulat allemand de la mendoubia avant de retirer, le 9 octobre 1945, ses troupes de Tanger qui retrouvera son statut international.

Le 10 avril 1947, le sultan Mohammed V, accompagné du prince héritier Moulay Hassan (futur Hassan II), prononce à Tanger le premier discours qui fait référence à un Maroc unifié et indépendant rattaché à la nation arabe. En 1956, avec l'indépendance du Maroc, la conférence de Fedala (8 au 29 octobre) rend Tanger au Maroc. Une charte royale maintient la liberté de change et de commerce jusqu’en 1960, année où le gouvernement marocain abolit les avantages fiscaux et Tanger se retrouve avec un statut identique à celui des autres villes du royaume. Afin d'éviter une fuite importante des capitaux, Le port de Tanger est doté d'une zone franche.

Tanger est adossée aux contreforts du Rif et se situe dans l'une des nombreuses baies du détroit de Gibraltar tout au nord de l'Afrique, face à la pointe de l'Europe, elle est au croisement de l'Océan Atlantique et de la Mer Méditerranée, dans une baie, entre le Cap Spartel et le Cap Malabata.

Station balnéaire très réputée, et cinquième grande ville du Maroc après Casablanca, Rabat, Fès, Marrakech et Meknes la population de Tanger approche 650 000 d'habitants.

Médina

La wilaya de Tanger s'étend sur une superficie de 1195 km², dont 863,3 km² pour la préfecture de Tanger-Asilah et 331,70 km² pour la préfecture de Fahs-Beni Makada, créée en avril 1997.

Économie

Deuxième centre industriel du pays après Casablanca, l'industrie est diversifiée : industries textiles, chimiques, mécaniques, métallurgiques et navales. La ville dispose actuellement de quatre zones industrielles dont deux ont un statut de zone franche (la Tanger FreeZone et la Zone franche portuaire). L’infrastructure de la ville du détroit est importante : un port gérant les flux de marchandises et de voyageurs (plus d’un million de voyageurs par an) intégrant un port de plaisance et un port de pêche.

Gare ferroviaire

Le chemin de fer relie la ville avec Rabat, Casablanca et Marrakech au sud ainsi qu’avec Fès et Oujda à l’est. L’autoroute est opérationnelle depuis l’été 2005 et relie Tanger à Fès via Rabat (250 Km) et Settat via Casablanca (330 Km). L’aéroport international IBN BATTOUTA est à 15 km au sud-ouest du centre de la ville.

Station balnéaire importante, Tanger dispose d’infrastructures hôtelières et touristiques variées, une baie délimitant le centre ville par le coté est et s’étend sur plus de 7 km, et d’une médina (ville ancienne) où se développe un commerce artisanal (maroquinerie, articles en bois et en argent, vêtements traditionnels et chaussures…).

La ville de Tanger est en passe de devenir une plaque tournante du trafic maritime commercial avec la construction du port Tanger Med qui a pour vocation de faciliter le commerce maritime. La ville connaît un exode galopant d’autres villes et régions du Maroc, ce qui a quadruplé sa population en deux décennies (1 million d’habitants aujourd’hui contre 250 000 en 1982) et permet l’apparition de quartiers semi périphériques pauvres au sud de la ville où l’infrastructure est absente.

Les années 2007-2008 seront particulières pour la ville du détroit à cause de l’achèvement des grands projets en construction, en l’occurence le deuxième port Tanger-Méditerranée et ses zones industrielles, un stade de 45 000 places, un centre d’affaires, des installations touristiques, l’aménagement du centre ville ainsi que la construction de nouvelles lignes autoroutières et ferroviaires.

L’agriculture dans la région de Tanger est tertiaire et principalement céréalière.

Tétouan




Tétouan, connu comme "la colombe blanche" est une belle ville marocaine, dans la partie nord du Maroc, la ville est située à seulement quelques miles au sud du détroit de Gibraltar, Tétouan est également le seul port ouvert du Maroc sur la Méditerranée, le plus grand à proximité de la ville marocaine de Tétouan Tanger est, à 40 miles de là, la ville de Tétouan compte une population de près de 320.539 habitants (recensement de 2004).
Tétouan est située à environ 28 miles au sud de Ceuta (Sebta) et le détroit de Gibraltar, sur le côté nord des montagnes du Rif, la ville est situé entre une variété de cultures de montagne tels que l'orange, amande, de grenade et de cyprès, car la ville est situé dans la vallée de Martil, donc la ville de Tétouan a une telle importance dans la situation géographique du Maroc.
La ville de Tétouan est une ville moderne avec l'architecture andalouse et andalus art design, il est également hispano Moresque dessins, certains des anciens quartiers de Tétouan sont Mellah où les Juifs ont vécu.

Marrakech




Faut-il encore présenter Marrakech, ses souks, la place Jemaa el-Fna, ses portes s’ouvrant sur le désert, la Koutoubia, les tombeaux saadiens, le palais de a Bahia et le bassin du harem de concubines...

Les remparts

Edifiés au début du XIIème siècle, ces imposants remparts donnent une idée de l'importance historique de la ville. Longs de 19 km et flanqués de 202 tours, ces murs bâtis en pisé présentent, selon l'éclairage, d'admirables reflets rougeoyants. Neuf portes majestueuses permettent l'accès à la médina. Quelques unes d'entre elles, telles que Bab el Debbagh et Bab Agnaou, ont conservé leur architecture d'origine et valent le détour.

Le minaret de la Koutoubia

(Accès interdit aux non-musulmans)
La mosquée Koutoubia doit son nom aux "kutubiyin" ou libraires, qui aux XIIème et XIIIème siècles venaient vendre leurs marchandises sur le parvis de la mosquée. Le minaret, achevé sous le règne du sultan Yacoub el-Mansour (XIIème siècle), est considéré comme un chef d'œuvre de l'art hispano- mauresque. Les proportions harmonieuses et la richesse ornementale des panneaux décoratifs des différentes faces de l'édifice font la fierté des Marrakchis. Dominant la ville et ses environs du haut de ses 70 mètres, le minaret, symbole de la ville, est aussi un excellent point de repère pour ceux qui viendraient à s'égarer...

Souks

Les souks de Marrakech figurent parmi les meilleurs du Maroc. Situés au coeur de la médina, ils offrent un festival de couleurs, de sons et de parfums qui ensorcèle le visiteur.Il n'est pas toujours facile de faire son choix parmi la variété des objets proposés. Mais n'hésitez pas à vous engager plus avant dans le dédale des ruelles, le trésor est peut-être au bout du chemin...

La place Jemaa el Fna

Cette place est la principale attraction touristique de Marrakech. Véritable "cour des miracles", elle est animée d'une vie intense où le misérable et le sublime se mêlent pour offrir un spectacle hallucinant. Badauds, musiciens, boutiquiers, danseurs, charmeurs de serpents, mendiants, guérisseurs... forment une foule hétéroclite et bigarrée. A la nuit tombée, les gargotiers s'installent et la place se métamorphose alors en un vaste restaurant en plein air où l'on peut déguster pour un prix modique toutes les spécialités locales.

Les tombeaux saadiens

Découvert en 1917 puis restauré par le Service des Beaux-arts, le mausolée abrite les corps d'une soixantaine de saadiens, dont el Mansour, ses successeurs et sa famille. L'édifice est composé de trois salles. La plus remarquable est la salle des douze colonnes où sont ensevelis Ahmed el Mansour, son fils et son petit-fils. Cette pièce centrale, avec ses colonnes de marbre d'Italie et sa coupole en bois de cèdre ouvragé, est un très bel exemple de l'art décoratif hispano-mauresque. A l'extérieur, se trouvent les tombes des soldats et serviteurs. Il est possible de se reposer dans le jardin de la nécropole, véritable havre de paix.

Médersa ben Youssef

La médersa ben Youssef est l'un des monuments les plus intéressants de la ville. Édifiée vers 1570 par les Saadiens, restaurée en 1960, cette école coranique est la plus vaste du Maghreb. Elle pouvait accueillir jusqu'à 900 étudiants répartis dans seulement 132 cellules! Fait inhabituel, ces chambres situées à l'étage possèdent des fenêtres donnant sur sept petites "courettes" intérieures. De plus, contrairement à la tradition architecturale arabo-andalouse, certaines de ses ouverture donnent sur la médina. La décoration est beaucoup plus classique et on ne manquera pas d'admirer les sculptures en bois de cèdre, zelliges et stucs qui ornent le monument.

Meknes




Capitale du Maroc durant le règne de Moulay Ismaïl, Meknès doit sa renommée à ce souverain chérifien qui a fait d’elle une œuvre grandiose. Inscrite au Patrimoine mondial de l’humanité par l’UNESCO, l’ancienne Médina de Meknès est indiscutablement un site à ne pas manquer lors de votre visite dans cette ville impériale. Installée sur un petit promontoire naturel, cette Médina à taille humaine recèle des trésors de l’architecture arabo andalouse. Vous apprécierez en particulier la perfection de la porte Bab Mansour, la Medrassa Bou Ismail ou la beauté du palais qui abrite désormais le musée Dar Jamai. Les amateurs de Golf se régaleront dans le seul 9 trous intra-muros du Maroc installé dans les anciens jardins du palais de Moulay Ismaïl.

La partie nouvelle de Meknès manque quant à elle d’un peu de charme, mais les habitants sont très accueillants. Meknès une belle étape pour se promener tranquillement, et apprécier le temps. Retrouvez sur mon-Maroc.com un hôtel à Meknes, un riad dans la Médina, une auberge à Volubilis, restaurant marocain de qualité ou tout simplement l'adresse d'un café.

A voir à Meknes


Le mausolée de Moulay Ismaϊl

Il s’agit de l’un des rares mausolées du Maroc, dont les visites des non musulmans sont permises. Construit en 1703, possède des fontaines aux ablutions, des colonnes en marbre, ainsi qu’un cadran solaire. Vous allez admirer le plafond en cèdre peint, et les mosaϊques sculptées d’écritures coraniques. En pénétrant à l’intérieur du mausolée, on trouve les tombeaux de Moulay Ismaϊl, de sa femme, et de deux de ses descendants.

Bab Mansour

Elle fut achevée en 1732, c’est la plus importante porte de Meknès. C’est l’édifice du fils de Moulay Ismaϊl, qui symbolise la puissance du sultan. Cette porte expose l’évolution historique de l’architecture marocaine, ce qui la rend plus remarquable, et dont des expositions y sont parfois organisées.

Fès





La plus belle et la plus envoûtante médina du Maroc est un labyrinthe de 9.500 rues et d’un millier d’impasses grouillantes de petits marchands guidant leur âne chargé de marchandises. Les souks y regorgent de victuailles en tout genre ou abritent divers corps de métiers, un ancien caravansérail magnifiquement restauré héberge un musée du Bois où cèdres et arganiers se muent en portes somptueuses, coffres et étagères sculptées. Le musée des Arts marocains est installé entre Fès el-Bali et Fès el-Jedid. On y trouve une remarquable collection de poteries en provenance de différentes villes et de différentes époques.
Fès el-Jedid fut fondée au 13e siècle à côté de Fès el-Bali. Elle est surtout remarquable par l’ancien quartier juif qui offre une architecture totalement différente. Une très belle synagogue, récemment restaurée et réouverte revit au rythme du culte judaïque.


Fès, cité millénaire, est la première ville orientale au Maroc.
Idris Ier, immigré d'Orient, fonda en 172H/789 J.-C., sur la rive droite de l'oued Fas, le premier noyau - Madinat Fas -, bourgade berbère à forte empreinte rurale. 20 ans plus tard, en 193H/809 J.-C., son fils Idris II fonda sur la rive gauche, dans la partie ouest du site, plus escarpée et riche en eau que la précédente, une seconde agglomération - al-Aliya (la Haute) - conçue à l'orientale avec son palais et sa qisariya. Deux faits historiques, l'insurrection du "Faubourg de Cordoue" en 199H/818 JC et une rébellion kairouanaise allaient être riches de conséquences pour la destinée de Fès.
Avec l'installation de huit cent familles andalouses, la rive droite dénommée alors 'Udwat al-Andalus s'urbanisa sur le mode andalou; ces faubouriens rabatis qui comptaient des artisans, des petits marchands néo-musulmans et des notables, apportaient "leur expérience de la vie citadine, leurs techniques ancestrales du jardinage, de la bâtisse et de l'artisanat".
Peu après, dans la ville d' al-Aliya, où dominait une population arabe très diversifiée quant à ses origines tribales, l'élite citadine composée de nobles, fut renforcée par l'arrivée de trois cents famille kairouanaises et de nombreux juifs qui firent bientôt du commerce avec toute l'Afrique du Nord. Cette ville fut appelée 'Udwat al-Qarawiyyin'. Au Xe siècle, la lutte d'influence politique entre Umayyades d'Espagne et Fatimides d'Ifriqiya dans le Nord du Maroc est favorable à la commande artistique. L'architecture et le mobilier révèlent les grandes tendances de l'art marocain: ces dernières puisent presque davantage aux sources de l'Ifriqiya qu'à celles de l'Andalousie. La très précieuse chaire de la mosquée des Andalous (fin Xe siècle) dont les techniques et procédés décoratifs ont survécu dans maintes réalisations ultérieures, témoigne de la maîtrise des sculpteurs, peintres et tourneurs sur bois.

Aux époques almoravide et almohade (seconde moitié du XIe-première moitié du XIIIe siècle), la domination de l'Espagne musulmane impliquant la suppression des frontières politiques avec l'Andalousie, la circulation des idées, et le va et vient constant des corps de métiers spécialisés, architectes et artisans, révèle dans l'art fasi la prédominance des influences andalouses.
C'est à partir de l'époque Mérinide (milieu du XIIIe-milieu du XV e siècle) que l'on peut restituer à Fas Al-Bali (Fès l'Ancienne ou la médina) le cadre de vie urbain avec des édifices encore en place, organes sécuritaires (remparts), utilitaires et économiques (fondouks, fontaines et souks), lieux de culte et du savoir (mosquées, oratoires, madrasa, zawiya ...), espaces publiques (hammam) et espaces privés domestiques (maisons etc.). Les dynastes Mérinides bâtirent en 674H/1276 JC, à côté de la ville ancienne, une ville administrative - Fès Jdid - avec la résidence des princes, la grande mosquée que compléteront d'autres mosquées, un marché et les demeures des personnages du gouvernement. Les Juifs s'y installèrent au début du XVe ou du XVIe siècle, semble-t-il. Fès continue, comme par le passé, à alimenter le commerce extérieur: les cuirs, les étoffes, notamment celles brodées figurent parmi les produits les plus prisés. Ces arts du cuir, de la broderie et du tissage atteignent une maîtrise d'exécution dont témoignent les présents remportés par les ambassades étrangères.

Une crise politique, économique et sociale survenue dès le milieu du XIVe siècle ébranle pour un temps la commande artistique: en dehors des chantiers du sultan Abou Inan - madrasa Bou Inaniya, magana ... - on ne trouve plus guère de commandes importantes. Fès devint, après la chute de Grenade en 1492 J.-C., marquant la fin de la "Reconquista" de l'Andalousie, la principale héritière de la civilisation hispano-maghrébine et demeura, jusqu'à l'avènement du protectorat, la grande métropole d'art de l'Occident musulman. Si le courant qui alimentait l'art maghrébin fut interrompu, d'autres influences véhiculées ultérieurement (aux XVe, XVIe et XVIIe siècles) par les réfugiés d'Andalousie, donnèrent une impulsion à cet art: les différents types de broderies, le tissage brocart en portent la marque. Bien que le Maroc ait échappé à la domination turque, dès le XVIe siècle, des influences ottomanes, dans le domaine floral notamment (palmette dentelée, tulipe, jacinthe, œillet...), parvenues indirectement, s'incorporèrent au répertoire ornemental existant: la céramique et le bois à usage architectural et mobilier, le marbre, le tissage en témoignent. Par ailleurs, d'autres influences empruntées à l'art architectural citadin du Bas Moyen Age ou aux arts berbères ruraux ont pu également s'exercer: les faïenciers fasis du XIX e siècle, séduits par la civilisation hispano - maghrébine, n'hésitèrent pas à interpréter sur leurs grands plats, parfois datés, les entrelacs architecturaux en derg u ktef "degré et épaulement" des minarets almohades et Mérinides, les entrelacs rectilignes testir des lambris de zellij ou, sous forme de pseudo-inscriptions, les eulogies de bonheur des frises et linteaux du XIV e siècle.

A Fès, capitale spirituelle et du savoir-faire, le nombre des artisans s'élève à plusieurs dizaines de milliers. En 1923, 162 corporations ont été dénombrées, dont plus de la moitié opéraient dans le domaine de l'artisanat. Ces corporations, dont la plupart étaient composées d'artisans, comptaient des commerçants ou étaient des corporations de services (kwadsiya). Leur présence atteste l'importance de l'artisanat dans l'économie de la médina; d'ailleurs, maintes chroniques soulignent le rôle économique et politique joué par celles-ci au cours de l'histoire. L'organisation spatiale de l'artisanat corrobore cette importance: le secteur artisanal, qu'il s'agisse d'ateliers de fabrication ou de marchés de vente, est regroupé autour de la Qaraouiyin, principal noyau de la ville ancienne (souks Chemmaîn, Sbitriyn, Seffarin, Nejjarin).

Médina Fes El Bali :
C'est la plus vaste du Maroc et la plus passionnante. Elle fut classée patrimoine mondial par l'Unesco en 1976. Ses ruelles en labyrinthe mènent vers une multitude de merveilles historiques et de souks.
C'est le cœur historique de la ville, établi sur les pentes d'une cuvette traversée par l'oued Fès: c'est la médina, avec ses medersas Attarine (bâtie entre 1323 et 1325) et Bou Anania (construite entre 1350 et 1357 par le sultan Abou Inane), sa fontaine Nejjarine, son mausolée Moulay Idriss et sa fameuse mosquée Karaouine (entrée interdite aux non-musulmans).

El Attarine :
C'est le souk des épiciers, il est sans conteste le marché le plus coloré de Fès.

Nejjarine :
Cette petite place tient son nom des ébénistes qui occupent les échoppes du quartier. Une jolie fontaine toute de zéliges ornée et d'un fronton en bois sculpté vient agrémenter la place. Sur cette place se trouve un ancien Foundouk (maison des hôtes) transformé aujourd'hui en musée où sont exposées des merveilles retraçant l'histoire du bois au Maroc

El Henna :
C'est une petite place isolée plantée d'arbres où l'on trouve toutes sortes de produits de beautés naturels dont le henné.

Seffarine :
Une jolie place ombragée où les dinandiers laissent résonner le bruit du métal qu'ils façonnent.

Debbaghine :
Non loin de place Seffarine, les odeurs guident vers le quartier des tanneurs où les artisans procèdent à un travail particulier

La mosquée Quarouiyen :
Fondée en 862 par une musulmane Fatima El Fihria originaire de Quairouan. C'est l'université la plus ancienne du monde arabe islamique. Quatorze portes permettent l'accès à l'intérieur de l'université qui dispose d'une précieuse bibliothèque riche de 30.000 volumes.

Zaouia de Moulay Idriss :
Abrite le tombeau de Moulay Idriss II fondateur de Fès. C'est le lieu saint de Fès.

Médersa Bou Inania :
Université islamique édifiée entre 1350 et 1357 par le sultan Mérinide Abou Inane et dont l'architecture est un des chefs d'œuvre de l'art maure.

Médersa Attarine :
C'est une école coranique édifiée en 1923 par le sultan Mérinide Abou Said dont le décor est d'une extrême finesse.

Dar El Magana :
C'est une horloge hydraulique à billes datant de 1357 , sise sur Talaa Sghira, dans un décor de bois et de plâtre sculptés.

Dar Batha :
Vieille maison construite en 1894-1909 par le sultan Moulay El Hassan

Borj Sud :
C'est une forteresse construite sous le règne du Sultan saadien Ahmed El Mansour Dehbi (1578-1609). Elle abrite aujourd'hui un musée d'armes légères.

Borj Nord :
Plus récent que celui du Sud, il abrite aujourd'hui un musée d'armes qui regroupe l'ensemble des collections d'armes blanches et à feu datant de la préhistoire jusqu'à nos jours. Ce dernier offre également une vue imprenable sur la vieille ville.

Bab Boujloud :
Construction récente en 1913

Fès El Jedid :
Ensemble Palatial se trouvant au nord de la ville.

Rabat






Rabat, capitale du Maroc située dans le Nord du pays, sur la côte atlantique, sur la rive gauche de l'embouchure du Bou Regreg, face à la ville de Salé .Rabat est le grand centre politique et administratif du pays, où se trouve le palais royal, les instances gouvernementales et les ambassades.

Rabat abrite des quartiers aussi divers que Agdal, Souissi, Ryad (quartiers résidentiels et riches), Océan et Aviation et Yacoub Ben Mansour . Salé, qui fait partie de la conurbation, est pour sa part une banlieue-dortoir reliée à Rabat par un pont. Cernée de remparts, la capitale du Royaume possède un important patrimoine architectural qui compte de nombreux monuments comme les portes de l’enceinte de la casbah des Oudaïa, le minaret de la mosquée Hassan (XIIe siècle), qui s’élève à 55 m, un des rares vestiges de cet édifice inachevé et, à proximité de la ville, la nécropole de Chellah. La ville abrite plusieurs musées (archéologie, artisanat). Elle est le siège de l’université Mohammed V (1957) et de plusieurs instituts culturels et d’enseignement.

Port important, Rabat est aussi une ville commerciale et industrielle (textiles, denrées alimentaires, matériaux de construction) où le tourisme et l’artisanat local jouent également un rôle économique majeur.